RSYNC over SSH

Logs d’erreur RSYNC / SSH

Permission Denied ou read_passphrase: can’t open /dev/tty: No such device or address

Hello,

Je viens de résoudre ce souci qui m’a bien occupé..

Impossible de se connecter en RSYNC over SSH sur un host distant, malgré avoir stipulé l’ « identity_file » pour SSH…
Rien n’y fait … Rsync me dit « permission denied » et ssh m’indique « read_passphrase: can’t open /dev/tty: No such device or address »

Mais je suis tombé sur un thread qui expliquait que la crontab avait son propre environnement qui n’était pas celui de root (je savais déjà cela mais j’avais pas percuté que c’était encore plus vrai lorsqu’il s’agit de variables d’environnement impliquant le comportement de SSH) … or mes échanges de clés SSH se font avec PassPhrase … donc si environnement différent et bien mon RSYNC over SSH attend une passphrase qui ne peut être saisie => les infos de debug de SSH indiquent d’ailleurs l’erreur

"debug1: read_passphrase: can't open /dev/tty: No such device or address"

=> Bah oui pas de TTY = pas de passphrase = pas autorisé

Sur ma machine j’utilise « Keychain » histoire d’avoir l’agent SSH de lancé afin de ne pas avoir à ressaisir la passphrase à chaque fois que je tente une connexion remote. Keychain génère un fichier qui contient les informations suivantes

SSH_AUTH_SOCK=/tmp/ssh-PWg3yHAARGmP/agent.18891; export SSH_AUTH_SOCK;
SSH_AGENT_PID=18893; export SSH_AGENT_PID;

==> La commande SSH-AGENT retourne les mêmes infos.

Donc, au final ce sont ces infos liées à la session en cours qui permettent les futures authentifications de la session en cours, sans nécessité de rerentrer la passphrase car déjà fait préalablement et mémorisée …


==> La solution est là !!! :

Il suffit dans le script lancée par la crontab, et de « sourcer » le fichier contenant ces informations ou de le faire sur la ligne de commande ds la crontab …

Exemple :

14 09 * * * . /home/foo/.keychain/foo.serveur.org-sh && scp -vvv -P 22 /tmp/mon_fic/toto.sh foo@my-server.fr:. >> /var/log/check_connexion.log 2>&1

ou utilisation de la commande

"source /home/foo/.keychain/foo.serveur.org-sh" 

dans le script qui lance un connexion utilisant le SSH.

=> Avec ce sourcing, plus de souci. Les informations de SSH_AUTH_SOCK et SSH_AGENT_PID sont chargées dans l’environnement de la Crontab et sont donc connues, le RSYNC over SSH se passe alors sans souci.

Ca m’a bien occupé mais voilà, ça fonctionne 🙂


La Nouvelle Livebox d’Orange !!!

4K, HDR et Dolby Atmos sur le nouveau décodeur

08382786-photo-orange-livebox-2
Nouveau modem équipé d’un « super Wi-Fi » composé de 4 antennes Wi-Fi ac sur la bande des 5 GHz et de 3 antennes en 2,4 GHz, pour un débit cumulé de 1,9 Gbps.

Deux boîtiers (modem et décodeur) communiquant en Wi-Fi, sans obligation d’un raccordement filaire.
Box « 100% fibre », raccordement à la fibre (1 Gbps max) désormais directement à l’arrière de la box, sans installation supplémentaire chez l’utilisateur.

A l’intérieur du modem, on trouve le Broadcom 63138, un SoC double coeur trois fois plus performant par rapport à la précédente Livebox.

Avec sa nouvelle Livebox, Orange livre le Airbox Confort, un modem 4G que vous pourrez emporter partout, sans perdre vos éléments de connexion. Il pourra également prendre le relais d’une connexion défaillante si besoin était.

4K, HDR et Dolby Atmos sur le nouveau décodeur

Le service Ma TV d’Orange s’enrichit d’un assistant vocal avec un service de reconnaissance faciale et d’un service de reconnaissance vocale.

Télécommande plus fine, plus légère et abandonne le clavier alpha-numérique.

Au sein du décodeur, un disque dur de 500 Go (extensible à 1 To selon votre abonnement) qu’il est possible de compartimenter en dix espaces séparés.

Orange a également présenté le fruit de son partenariat avec HTC et son Vive (Casque VR) en matière de réalité virtuelle.

FIRSTHEBERG : C’est pas cher, mais ça ne vaut pas cher !!!

Petit Coup de Gueule Rapide !

Vous connaissez FIRSTHEBERG ? C’est un hébergeur avec des tarifs relativement intéressant (pas gratuit non plus) qui permet de vous procurer votre petit serveur privé (comme ce serait le cas chez OVH ou KIMSUFI).

Sauf que chez FIRSTHEBERG, vous subissez des coupures intempestives, les gens du support sont assez réactifs pour au final ne rien vous apportez de probant et lorsque vous les solliciter pour avoir une info technique liée au serveur que vous leur avez acheté, ils vous répondent qu’ils ne peuvent fournir cette information puisque cela relève de l’infogérance…

Bref, c’est comme chez FREE, tant que tu n’as besoin de rien … ça parait bien … mais comme dirait nos amis Mulder et Scully … The Truth is out there !

PERL : « Can’t locate feature.pm in @INC » suite à mise jour …

Vous aussi, suite à une mise à jour de votre distribution Linux (apt-get, aptitude, yum ou autre), vous vous êtes retrouvés avec des erreurs PERL du type « Can’t locate feature.pm in @IN » ???

Dans mon cas de figure, ma Debian était encore basée sur des repositories SQUEEZE. Suite à l’arrêt du suivi de SQUEEZE, j’ai du modifier mon « /etc/apt/sources.list » pour faire pointer les repos vers WHEEZY.

La suite logique étant un « aptitude update » (ou apt-get update), j’ai donc tenté un « aptitude full-upgrade » …. et là … Catastrophe , je me suis retrouvé avec des tonnes d’erreurs comme citées en titre de ce post 🙁 (feature.pm, Basename.pm, etc …)

Après plusieurs recherches sur le Net, je n’ai pu trouver un post clair, simple, précis et efficace qui me permettrait d’arriver à mes fins …

Dans mon cas de figure, la version de Perl installée avec SQUEEZE était la 5.10.1 et celle que WHEEZY installe est la 5.14.2. Mais pour une raison inconnue, à un moment, dans le process de mise à  jour, Perl s’est retrouvé à vouloir utiliser les librairies du Perl 5.10.1 alors que le Perl 5.14.2 était installé. La version 5.10.1 ayant été purgée par le process de mise à jour, Perl pointait donc (la fameuse suite de répertoires inclus via la directive @INC) vers la mauvaise installation de Perl 🙁

Et comment modifie-t-on la liste des répertoires listés via la directive @INC ?
Alors il existe des solutions mais franchement je n’ai rien trouvé de clair, simple, précis et efficace …

La seule solution trouvée qui fut clair, simple, précise et efficace : exporter la variable PERL5LIB valorisée avec le chemin exact des librairies de la bonne version de Perl, soit quelque chose du style :

PERL5LIB=/home/path/lib:/usr/another/path/lib; export PERL5LIB

Une fois ceci effectué, la commande « perl -v » me donnait bien la bonne version attendue de Perl.
J’ai ainsi pu relancer un « aptitude update » puis un « aptitude full-upgrade »

Sans cette « bidouille », aptitude me proposait une fulltitude de solutions, toutes plus destructrices les unes que les autres.

 

On dit quoi ? Merci Perl 🙁

FIRSTHEBERG : souci de RAID et apparition d’un /dev/md126 ou /dev/md127

En gros, pour faire simple, suite à un reboot serveur, on ne peut se reconnecter au serveur et sur la console d’admin (à laquelle on n’a pas accès) on se retrouve avec une impossibilité de monté le volume nécessaire avec un device inexistant ou corrompu. Dans mon cas, /dev/md3 était inexistant.

dev_md3

Après reboot du serveur par les équipes de FIRSTHEBERG, j’ai pu avoir accès au serveur et je me suis rendu compte que seul /dev/md1 était monté malgré le fait que /dev/md3 était mentionné dans le « fstab », ainsi que dans le fichier de conf de « mdadm » (/etc/mdadm/mdadm.conf)
La commande « cat /proc/mdstat » m’indique que /dev/md3 est inexistant mais je vois apparaitre un /dev/md126 !!!!

D’où sort il ce /dev/md126 !!###$$^^##&&**%%§§???

Un « df –h », me confirme la chose … pas de md3 et évidemment pas de md126 car listé dans aucune conf du RAID Soft

df -h

Sys. de fichiers    Taille  Uti. Disp. Uti% Monté sur 
/dev/md1              9,8G  7,7G  1,6G  84% /
tmpfs                 2,0G     0  2,0G   0% /lib/init/rw
udev                   10M  160K  9,9M   2% /dev
tmpfs                 2,0G     0  2,0G   0% /dev/shm

Bref, on se retrouve avec un serveur amputé d’une partie de ses données.

Si je monte le /dev/md126 sur /var, je retrouve toutes mes données. Je me rends compte aussi que l’outil « mdadm », n’est pas installé.
Ayant monté le /var, j’en profite pour lancé la commande « apt-get install mdadm » … pourquoi cet outil est-il absent … bizarre, bonne question, car cet outil est appelé par un script dans « /etc/init.d » … et ce serveur à été souscrit avec cette option de RAID Logiciel dès le départ … « mdadm » devrait être installé et ce n’est pas le cas 🙁

Bref, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Pour résumer, j’ai un md126 en lieu et place d’un md3 …
La commande « cat /proc/mdstat » me donne le résultat suivant

cat /proc/mdstat

Personalities : [linear] [raid0] [raid1] [raid10] [raid6] [raid5] [raid4] [multipath] [faulty]
md1 : active raid1 sdb1[1] sda1[0]
10239936 blocks [2/2] [UU]

md126 : active raid1 sdb3[1] sda3[0]
476097472 blocks [2/2] [UU]

unused devices: <none>

Elle devrait me donner le résultat :

Personalities : [linear] [raid0] [raid1] [raid10] [raid6] [raid5] [raid4] [multipath] [faulty]
md1 : active raid1 sdb1[1] sda1[0]
10239936 blocks [2/2] [UU]

md3 : active raid1 sdb3[1] sda3[0]
476097472 blocks [2/2] [UU]

unused devices: <none>

Donc prenons le taureau par les cornes, et je démonte le « /dev/md126 ».
Ce device étant un Raid Soft, j’arrête le Raid sur ce device :

mdadm -S /dev/md126 » (réponse : mdadm: stopped /dev/md126

La commande suivante va checker le raid que mdadm voit :

mdadm --detail –scan

ARRAY /dev/md1 metadata=0.90 UUID=10460d6e:c684efe0:9d4deba6:47ca997f

Maintenant que md126 est stoppé, il va falloir recréer (réassembler le raid) pour md3. Pour cela on récupère les infos qui vont bien.
Dans le fichier « /etc/mdadm/mdadm.conf », on voit les informations du RAID :

cat /etc/mdadm/mdadm.conf

ARRAY /dev/md1 UUID=10460d6e:c684efe0:9d4deba6:47ca997f
ARRAY /dev/md3 UUID=d65cbf89:20217a78:9d4deba6:47ca997f

Avec la commande « blkid », on récupère les BlockID des devices de stockage

blkid

/dev/sdb1: UUID="10460d6e-c684-efe0-9d4d-eba647ca997f" TYPE="linux_raid_member"
/dev/sdb3: UUID="d65cbf89-2021-7a78-9d4d-eba647ca997f" TYPE="linux_raid_member"
/dev/sda1: UUID="10460d6e-c684-efe0-9d4d-eba647ca997f" TYPE="linux_raid_member"
/dev/sda3: UUID="d65cbf89-2021-7a78-9d4d-eba647ca997f" TYPE="linux_raid_member"
/dev/sda2: UUID="1ba0b73e-fde6-4209-a516-2954608c111f" TYPE="swap"
/dev/sdb2: UUID="a119d4cf-5b1a-4f85-a30d-fbc6c48c3a7a" TYPE="swap"
/dev/md1: UUID="cf984d55-82e2-49bb-90b6-a82792149bb9" TYPE="ext4"

On voit très bien quels devices font partis des quels raid.
Ainsi md1 = sdb1 + sda1 et md3 = sdb3 + sda3
Et voici ZE commande pour réassembler le RAID avec les bons devices :

mdadm --assemble --verbose /dev/md3 /dev/sda3 /dev/sdb3

Et la réponse à cette commande :

mdadm: looking for devices for /dev/md3
mdadm: /dev/sda3 is identified as a member of /dev/md3, slot 0.
mdadm: /dev/sdb3 is identified as a member of /dev/md3, slot 1.
mdadm: added /dev/sdb3 to /dev/md3 as 1
mdadm: added /dev/sda3 to /dev/md3 as 0
mdadm: /dev/md3 has been started with 2 drives.

La commande  de scan me donne alors les infos suivantes :

mdadm --detail –scan

ARRAY /dev/md1 metadata=0.90 UUID=10460d6e:c684efe0:9d4deba6:47ca997f
ARRAY /dev/md3 metadata=0.90 UUID=d65cbf89:20217a78:9d4deba6:47ca997f

Et la commande « cat /proc/mdstat » me donne :

cat /proc/mdstat

Personalities : [linear] [raid0] [raid1] [raid10] [raid6] [raid5] [raid4] [multipath] [faulty]
md3 : active raid1 sda3[0] sdb3[1]
476097472 blocks [2/2] [UU]

md1 : active raid1 sda1[0] sdb1[1]
10239936 blocks [2/2] [UU]

unused devices: <none>

C’est donc tout bon, donc un petit check avec un « fsck /dev/md3 »  et je remonte le /dev/md3 sur /var
Il ne reste plus qu’à lancer la commande : update-initramfs -k all –u
Elle permet de régénérer toutes les images de kernel présentes avec les infos Up2date.

Je reboot et voilà 🙂
C’est fini 😛

Merci qui ?

Soutenons la Quadrature du Net

La Quadrature du Net, qui travaille dur à la défense de nos libertés sur le net vient de réactiver sa campagne de dons pour l’année 2013.
Le budget prévisionnel est de 225 000 € pour 2013… Actuellement, on atteint péniblement 6500 € financé par 165 péquins… Oui, c’est peu… Trop peu !

Il faut les aider car avec l’EFF et d’autres associations du même acabit, ils sont les derniers remparts de nos libertés. Leur donner plus de moyens, c’est nous donner plus de chances de lutter contre les lois liberticides et de défendre la neutralité du net.

Bref, je compte sur vous et si vous n’avez pas beaucoup de cash, vous pouvez les aider en en parlant autour de vous !

https://soutien.laquadrature.net/

Backtrack 6 alias Kali Linux est là !

Avis aux amateurs de sécurité informatique, Backtrack 6 est enfin sortie !!!

Kali Linux

Alors qu’elles sont les nouveautés de cette distrib ?

Et bien tout d’abord, ça ne s’appelle plus Backtrack, mais Kali Linux. Et du coup, on passe en version 1.0. Kali Linux est basée sur une Debian plutôt qu’Ubuntu comme précédemment et ses dépôts se synchronisent avec les dépôts officiels de Debian, 4 fois par jour afin que la distrib soit toujours à jour.

Tous les packages inclus dans Kali sont donc supportés par n’importe quelle Debian et ça c’est plutôt une bonne nouvelle.Il est aussi possible de personnaliser sa propre distrib live directement pour disposer d’une ISO qui correspond au mieux à vos besoins.

apt-get install git live-build cdebootstrap
git clone git://git.kali.org/live-build-config.git
cd live-build-config
lb config
lb build

Enfin, et c’est une grosse nouveauté, Kali Linux fonctionne aussi sur des architectures ARM comme les Chromebooks de Samsung, le Raspberry Pi, ODROID U2/X2…etc., etc.

Bref, de la bonne came à télécharger sur leur nouveau site tout beau, tout frais.
(Source)

Enjoy …

Un VPN gratuit pour tous

Daiyuu Nobori, un étudiant japonais de l’Université de Tsukuba a lancé un tout nouveau service de VPN qui a la particularité d’être 100% gratuit et qui peut être utilisé par tout le monde.

Pour son projet, il a développé un logiciel sous licence GPL baptisé SoftEther qui fonctionne sous Windows, Linux, Mac, FreeBSD et Solaris afin de créer un réseau de « volontaires » comme il les appelle, qui partagent leur connexion internet pour y faire transiter des connexions VPN. Ces « volontaires » sont des gens de partout dans le monde qui installent simplement le serveur SoftEther et qui le configurent pour en faire un relai VPN public.

Daiyuu Nobori, un étudiant japonais de l'Université de Tsukuba

C’est du costaud !!! Souvenez-vous du projet TOR …
Keep it in touch !

Nexus Root Toolkit 1.6.6 – Android 4.3 compatible

On l’attendait, il l’a fait !
Alors Merci à lui pour ce merveilleux travail !
En effet, Android 4.3 est reconnu et NRT vous permet de « Rooter » votre Nexus 4 en 2 temps et 3 mouvements 🙂
D’ailleurs, il vous est possible de « Rooter » comme d’annuler cela si un besoin de retour en Garantie se faisait sentir 🙂

Bref, c’est de la balle et c’est un Taff superbe !
Bravo !!!

Vous trouverez votre bonheur dans les 2 liens suivant :

http://www.wugfresh.com/
http://developer.android.com/sdk/win-usb.html

De plus, si jamais vous êtes encore sur XP (oui oui ça arrive…) alors pensez à désactiver l’option « Debug USB » dans les paramètres sinon vous ne pourrez monter votre Nexus 4 comme un « Flash drive » (ou clé USB classique).
– En mode « Debug USB activé », Windows XP utilise les drivers « ADB ». Ces drivers permettent d’interagir avec le « Device » Android connecté (reboot etc…) mais ne permettent pas de reconnaître votre Nexus comme une Clé USB.
– En mode « Debug USB désactivé », Windows XP reconnaitra votre Nexus comme un « Flash Drive » (Clé USB), à l’aide du protocole MTP (cf. wikipédia), et permettra d’utiliser votre Nexus comme moyen de stockage.

Bon amusement !

Stay in touch !